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L’open space et le bureau de travail partagé tel que nous les avons connus sont brutalement devenus obsolètes. L’heure est au réaménagement et pose d’écran de séparation et cloison amovible. Administrations, commerces, entreprises, tout le monde veut des mini-cloisons, cloisonnettes ou des séparations lavables.
Cloisonner les grands open space
Pour les entrepreneurs, l’objectif est d’aménager les grands plateaux de travail comme les petits bureaux regroupant plusieurs salariés. Pour créer des modules à la demande, une solution simple consiste à installer des cloisons de séparation en verre, en bois ou en plexi qui peuvent se nettoyer et désinfecter. Exit le bureau paysager et l’open space, des ilots de travail plus confortables, sécurisants et spacieux sont en passe de devenir la norme. Sans doute un mal pour un bien, car l’open espace traditionnel trop fréquenté et bruyant est source de stress. Le bruit ambiant nuit à la concentration et l’absence d’intimité finit par devenir pesante. Installer des bureaux délimités par des cloisons amovibles et juxtaposables en bois, mélaminés ou verre comme ceux utilisés pour les solutions TreScreen ou Desk System de DP Acoustique.
Les bureaux nomades en chute libre ?
Quant « flex-office » avec leur turnover d’occupants, il pourrait disparaître suite à la crise sanitaire. Déjà, qu’ils étaient peu appréciés en temps normal, ils risquent de se voir boycotter pendant quelque temps. Psychologiquement, avoir un bureau attitré est plus sécurisant. On y a ses petites habitudes, on s’approprie un lieu, « une bulle professionnelle ». Créer cette intimité professionnelle est sécurisante tant sur le plan physique que mental. Scotcher un pense-bête, une photo ou une carte sympa suffit pour personnaliser ces quelques mètres carrés. Cette mise à l’index du bureau nomade et par voie de conséquence de l’open space dépendra beaucoup de l’évolution du télétravail dans notre pays. De nouvelles habitudes ont été prises constatent les DRH. De nouvelles perspectives et modes de fonctionnement ont été expérimentés à marche forcée. Il se pourrait qu’elle transforme à nouveau l’aménagement des bureaux. Pour l’instant, « divisons pour mieux travailler » semble la devise pour la reprise.
